ILE DE SAINT MARTIN
Le lagon de st martin
le mouillage de marigot bay
ILE DE SAINT MARTIN
DU 26/02/2009 AU 16/03/2009
Petite navigation tranquille avec le vent dans le dos pour rejoindre l’île de St Martin. Nous ferons une première escale coté hollandais à Simpson Bay juste le temps d’aller voir les tarifs du matériel afin de comparer avec le coté français car le mouillage est rouleur et se trouve au bout de la piste de l’aéroport international, un peu bruyant quand les avions décollent.
En route pour le coté français direction le mouillage de Marigot Bay, il n’y a pas beaucoup de bateau et nous pouvons mouiller pratiquement ou l’on veut. Surprise en faisant la clearance le mouillage est devenu payant, 20 euro la première nuit et ensuite c’est en fonction de la taille du bateau, une petite astuce pour éviter de payer les journées supplémentaires faire la sortie a la marina dans le lagon ou l’on ne vous demandera rien.
Un coup de houle est annoncé, nous nous déplaçons vers le nord devant port louis, mais ça devint vite intenable, nous allons rentrer dans le lagon avant que la houle ne déferle trop dans la passe et miracle plus de houle du tout, on se croirait en marina.
Saint Martin ne mérite une visite que pour les prix bas de tous les équipements de bateau et l’absence de TVA, l’île n’est pas particulièrement jolie, trop urbanisée et le mauvais temps nous empêcheras d’en faire le tour avec le bateau
Nous y sommes d’ailleurs pour ça, nous remettons à niveau notre stock de pièces de rechanges et surtout nous achetons une nouvelle annexe beaucoup plus grande que la première avec un moteur de 15 CV qui nous permet maintenant d’aller beaucoup plus loin en mer et beaucoup plus vite, le grand confort
Nous retrouvons un bateau rencontré à Puerto la Cruz au Vénézuéla, Cassiopé avec qui nous passerons de bons moments et faisons la connaissance d’un ovni Balanec.
Demain, nous attaquons la redescente vers la Guadeloupe, nous abandonnons notre progression vers le nord car dans les îles suivantes, il faut payer pratiquement partout pour pouvoir jeter l’ancre ou alors nous devons rester dans des endroits précis, très peu pour nous, nous aimons notre liberté